science nasa cosmologie unification article original publié par Science Nasaauteur Patrick L. Barrytraduction de Didier Jamet9 MAI 2004 Croquis de l’expérience historique de Galilée, telle qu’elle aurait été menée depuis le sommet de la tour de Nasa Si l’on en croit la légende, Galilée eut il y a quatre siècles l’idée de faire tomber simultanément du sommet de la tour de Pise différents objets boulets de canon, balles de mousquet, billes de bois, pièces d’or ou d’argent. Il imaginait sans doute que les objets les plus lourds pourraient tomber plus vite que les plus légers. Mais il n’en fut rien. Ils mirent tous le même temps à faire le trajet jusqu’au sol, donnant à Galilée l’opportunité de faire une grande découverte Quelle que soit leur masse ou leur composition, la gravité accélère tous les objets de la même façon. On appelle aujourd’hui cela " l’Universalité de la chute libre " ou plus fréquemment le " principe d’équivalence ", et c’est une des pierres angulaires de la physique moderne. C’est notamment en postulant la validité du principe d’équivalence qu’Albert Einstein a bâti sa théorie de la gravité, la fameuse théorie de la relativité générale. Mais que se passerait-il si ce principe était faux ?… " Certaines théories récentes suggèrent que l’accélération de la gravité pourrait en fait varier de façon très subtile avec la composition matérielle de l’objet considéré " fait remarque Jim Williams, physicien au JPL. Et si tel était bien le cas, il faudrait réécrire la théorie de la relativité, ce qui correspondrait à une révolution dans le monde de la physique. Des chercheurs financés par la Nasa vont tester le principe d’équivalence en tirant au laser vers la Lune. " La détermination de la distance Terre-Lune par le biais des lasers est un des plus puissants outils dont nous disposions afin de repérer d’éventuelles faiblesses de la théorie de la relativité générale " confie Slava Turyshev, chercheur du JPL qui collabore avec Jim Williams et quelques autres sur ce projet. Si leur expérience est aujourd’hui possible, c’est parce que les astronautes du programme Apollo ont déployé, il y a plus de 30 ans, des miroirs sur le sol lunaire, en fait des petits panneaux formés de plusieurs dizaines de rétro réflecteurs qui peuvent intercepter un rayon laser en provenance de la Terre et le renvoyer directement à sa source. En utilisant lasers et miroirs, les chercheurs ont la possibilité de suivre la Lune à la trace dans sa révolution autour de la Terre. En fait, il s’agit ni plus ni moins d’une version moderne de l’expérience de la tour de Pise. Au lieu de laisser tomber un boulet vers le sol, il s’agit ici de voir comment la Terre et la Lune " tombent " vers le Soleil. En effet, tout comme les billes de plomb et d’or que laissait choir Galilée, la Terre et la Lune ont chacune une composition différente, ainsi que des masses très inégales. Sont-elles accélérées vers le Soleil de la même façon ? Si la réponse est oui, le principe d’équivalence passera le test avec succès. Mais dans le cas contraire, une révolution s’amorcerait. Une violation du principe d’équivalence pourrait se traduire par une déviation de l’orbite lunaire, vers le Soleil ou au contraire à l’opposé. " En utilisant des masses aussi considérables que celles de la Terre et de la Lune, nous sommes susceptibles de mettre en évidence des effets extrêmement ténus, si jamais ils existent " explique Williams. L’étude de la distance Terre-Lune grâce aux tirs de rayons laser ne date pas d’hier, puisqu’elle remonte aux missions Apollo. Jusqu’ici, la théorie de la gravité d’Einstein, et donc le principe d’équivalence, ont été testés avec succès jusqu’à la treizième décimale. Mais cette précision est cependant insuffisante pour tester toutes les théories prétendant être capables de renverser celle d’Einstein. Les méthodes actuellement utilisées pour mesurer la distance Terre-Lune 385 000 km en moyenne au moyen de lasers ont une marge d’incertitude de 1,7 centimètre. À l’automne prochain, un nouveau dispositif financé par la Nasa et la National Science Foundation diviseront par 10 cette marge d’erreur, l’amenant à une valeur comprise entre 1 et 2 millimètre. Ce bond en précision signifie que les chercheurs seront en mesure de détecter des déviations de l’orbite lunaire dix fois plus petites qu’à l’heure actuelle, ce qui sera peut-être suffisant pour prendre en défaut la théorie de la relativité générale. Pour parvenir à cette précision, l’installation, qu’un clin d’œil de ses concepteurs a fait baptiser Apollo, soit l’acronyme de " Apache Point Observatory Lunar Laser-ranging Operation ", doit chronométrer les allers et retours des impulsions laser entre la Terre et la Lune à quelques picosecondes près, soit un millionième de millionième de seconde, ou encore 10 puissance –12 seconde… La vitesse de la lumière étant connue environ 300 000 kilomètres à la seconde, il suffira de mesurer le temps de trajet aller-retour de l’impulsion laser pour connaître la distance entre le télescope Apollo et le miroir à la surface de la Lune. Mais comment le télescope Apollo parvient-il à réduire aussi drastiquement la marge d’erreur, 10 fois plus faible qu’auparavant ? Tout d’abord, il va utiliser un miroir beaucoup plus grand que son prédécesseur de l’Observatoire Mac Donald, au Texas 3,5 mètre contre 0,72. Plus le miroir est grand, plus il collecte de photons lumineux de retour de la Lune, nous explique simplement Tom Murphy, professeur à l’Université de Californie-San Diego, et concepteur du dispositif Apollo. En comparaison, Là où le précédent télescope ne recueillait qu’un seul photon sur cent envoyés vers la Lune chaque impulsion du laser en délivre 100 millions de milliards !, le télescope Apollo en récupèrera cinq, ce qui améliorera grandement la valeur statistique des résultats. Il faudra cependant tenir compte de plusieurs sources potentielles de distorsion. L’atmosphère de notre planète peut par exemple dévier le trajet du rayon laser, de la même manière qu’elle fait scintiller la lumière des étoiles. Autre exemple, de minuscules glissements tectoniques du sol situé sous le télescope, typiquement de l’ordre de quelques centimètres par an, auraient pu fausser les résultats à long terme. Aussi les responsables du projet ont-ils retenu comme site le sommet d’une montagne près de White Sands, au Nouveau Mexique, qui bénéficie à la fois d’une atmosphère et d’un sol particulièrement stables. De plus, ils ont pris la précaution d’installer un gravimètre supraconducteur et des capteurs GPS de haute précision sur le pourtour de l’observatoire afin de détecter le moindre mouvement de terrain. Ce dispositif est complété par des baromètres de précision qui fourniront en permanence un état précis de l’atmosphère. Williams et Turyshev ont récemment perçu un financement du Bureau de recherche biologique et physique de la Nasa qui va leur permettre d’améliorer le logiciel de traitement du signal laser dans des proportions compatibles avec la nouvelle précision du reste du système installé au Nouveau Mexique. " il faudra tenir compte de quantité de minuscules paramètres dont l’influence ne dépassera pas le millimètre " reconnaît Turyshev. Au bout de ce luxe infini de précautions, c’est le caractère universel de la chute libre qui pourrait bien finir par… tomber. Beaucoup de scientifiques accueilleraient la nouvelle avec satisfaction. Cela fait un moment qu’ils restent perplexes devant l’étrange incompatibilité entre la relativité générale et la mécanique quantique. Les deux théories, chacune si efficaces dans leurs domaines respectifs, sont comme deux langues qui décriraient l’Univers avec des concepts fondamentalement différents. Aussi la découverte d’un défaut dans les fondements de la relativité pourrait-elle mener les chercheurs vers une nouvelle " Théorie du tout ", réconciliant finalement physique quantique et théorie de la gravité dans un cadre harmonieux. Depuis l’Italie jusqu’au Nouveau Mexique en passant par la Lune, voici une expérience qui aura traversé les siècles et les milliers de kilomètres. Mais peut-être arriverons-nous bientôt au bout du voyage. Quelques liens pour aller plus loin Galilée et la tour de Pise L’expérience de Galilée sur la Lune Détermination de la distance Terre-Lune par laser Le télescope Apollo Rétro réflecteurs lunaires Les Lunokhods Résultats de la mesure de distance Terre Lune par lasers A la recherche du gravitomagnétisme Quelques grammes de quasi perfection Tester la théorie de la gravitation avec des lasers Dans notre dictionnaire de l'astronomie... à lire aussi... Ciel L'astronomie débute par l'observation du ciel, qu'elle ne définit pas rigoureusement. Le ciel commence au-dessus de notre tête, regroupant oiseaux et étoiles. à lire aussi... Atmosphère L'atmosphère est la couche de gaz qui enveloppe une planète ou un satellite naturel ; celle de la Terre nous abrite et contribue à rendre la vie possible
Conversiond'unités de mesure de attomètre vers distance lunaire (entre la Terre et la Lune) (am—LD) Convertisseur d'unité Convertissez aisément les unités de mesure !
L'origine connue de notre Univers se situe il y a 13,7 milliards d'années. A cet instant, une explosion gigantesque le Big Bang se produit. Chronologie univers I – Description de l’univers 1 Le système solaire Le système solaire est un système planétaire composé d'un ensemble d'objets célestes planètes et leurs satellites, comètes, astéroïdes qui gravitent autour d'une étoile, le Soleil. Le Soleil représente à lui seul plus de 99% de la masse totale du système solaire. Depuis le Soleil, on trouve les planètes telluriques à surface rocheuse Mercure, Vénus, la Terre et Mars, une ceinture d’astéroïdes les planètes géantes gazeuses Jupiter, Saturne, Uranus et Neptune La ceinture de Kuiper Elles dessinent des trajectoires pratiquement circulaires autour du Soleil. Excepté les planètes les plus proches du Soleil Mercure et Vénus, toutes les planètes ont des satellites naturels. La Lune est l'unique satellite naturel de la Terre. 2 Au delà du Système Solaire Le Soleil n’est qu’une étoile parmi des milliards d’autres. Les galaxies Les étoiles s'organisent d'abord en galaxies, des structures qui s'étendent sur environ années-lumière. Il y aurait entre 100 et 200 milliards de galaxies dans l'univers tel que nous le connaissons. Celle dont fait partie le Système solaire a été baptisée la Voie lactée et regroupe quelque 100 milliards d'étoiles. La Voie lactée est une galaxie spirale, mais les galaxies peuvent aussi prendre une forme elliptique ou même irrégulière. Les amas de galaxies Les galaxies se regroupent au sein d'amas. Les galaxies peuvent se lier entre elles par leur force de gravitation et former des amas de galaxies d'une dizaine de millions d'années-lumière. Celui auquel appartient la Voie lactée est appelé le Groupe local ». Parmi la trentaine de galaxies qu'il abrite, on trouve notamment la fameuse galaxie d'Andromède. L'univers compterait environ 25 milliards d'amas de galaxies. Les superamas de galaxies Les amas se regroupent au sein de superamas, des structures gigantesques, de l'ordre de 150 millions d'années-lumière et composées de plusieurs dizaines d'amas chacune. Le Groupe Local appartient au superamas de la Vierge. Dans l'univers visible, il y aurait quelque 10 millions de superamas. Les superamas s'organisent enfin en filaments, comme un réseau tridimensionnel en toile d’araignée. Entre les superamas, il existe donc d'immenses zones de vide l'univers est dit lacunaire », des zones qui atteindraient, pour certaines, les centaines de millions d'années-lumière. Selon les astronomes, ces zones de vide représenteraient quelque 90 % du volume total de l'univers. Conclusion L'univers est constitué de milliards d’étoiles et de nombreux autres objets célestes tels les planètes, les comètes, les astéroïdes, etc. Tous ces corps se structurent en galaxies, amas et superamas. Cependant, à grande échelle, la structure de l'univers est dite lacunaire » car celui-ci est en majorité constitué de vide. II – Les unités de distance en astronomie Quelques distances dans le système solaire et la Voie Lactée distance Terre-Lune = 384 400 km distance moyenne distance Terre-Soleil = 150 000 000 km distance Soleil-Neptune = 4,498 milliards km = 4 498 000 000 km. distance Soleil-Proxima du centaure étoile la plus proche du Soleil = 39 900 000 000 000 km = 3,99 x 1016 m Les distances dans l'Univers étant gigantesques et il a donc été nécessaire de créer des unités de distance adaptées. Unité Astronomique Pour mesurer des distances dans le système solaire, on utilise l'Unité Astronomique. 1 Unité Astronomique ua correspond à la distance séparant la Terre du Soleil soit environ 150 000 000 km. Précisément 1 ua = 149 597 870 700 m = 1,5 x 108 km = 1,5 x 1011m Exemples distance Terre-Soleil = 1 ua distance Soleil-Neptune = 4 498 000 000 000 m / 149 597 870 700 m = 30 ua L'année-lumière Pour mesurer les distances entre les étoiles, galaxies ou amas de galaxies on utilise l'année-lumière. L'année-lumière est la distance parcourue par la lumière en 1 année dans le vide. Sachant que la vitesse de la lumière ou célérité de la lumière dans le vide est de 300 000 km/s = 3 x 108 m/s et qu'une année représente 365,25 jours, alors 1 al = 365,25 jours x 24 h x 3600 s x 3 x 108 m/s = 9,467 x 1015 m = x 1012 km. Exemple Distance Soleil-Proxima du centaure = 3,99 x 1016 m / 9,467 x 1015 m = 4,21 al Cette distance signifie que si on pouvait se déplacer à la vitesse de la lumière, il faudrait 4,21 ans pour atteindre l'étoile la plus proche du Soleil. De même, comme la lumière provenant de cette étoile met 4,21 ans à nous parvenir, lorsqu’on l’observe depuis la Terre, on la voit telle qu’elle était il y a 4,21 années. C’est pour cela que l’on dit "Voir loin, c'est voir dans le passé" L'Univers s'étend sur 13,7 milliards d'années-lumière soit Dimension Univers = 13,7 x 109 x 9,467 x 1015 ≈ 1,3 x 1026 m !!! On remarque que l'homme fait la liaison entre l'infiniment petit et l'infiniment grand.
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Exercicen°10 : Écrire C, D, E et F sous la forme où et sont des réels non nuls et et sont des entiers relatifs. Exercice n°11 : Écrire A, B et C sous la forme où est un entier relatif. Exercice n°12 : La lune tourne autour de la Terre selon une orbite elliptique. La distance moyenne Terre-Lune est environ 384 400 km.
Forum Futura-Sciences les forums de la science UNIVERS Astronomie et Astrophysique Archives Vitesse de déplacement de la lune. Affichage des résultats 1 à 7 sur 7 23/10/2008, 14h37 1 softage Vitesse de déplacement de la lune. - Amis bonjour. En cherchant à déterminer la vitesse de déplacement radial de la lune en orbite vitesse et orbite stables, j'ai pris comme équations M1 masse terre M2 masse lune R distance terre-lune F1 = GxM1xM2 / R² pour la force centripède F2 = M1xV²/ R pour la force centrifuge Tel que F1 = - F2. En réduisant l'équation on arrive à V = racine carré de GxM2 / R Le calcul est simple sauf que le résultat donne ~ 1170 km/h, alors que la valeur connue est de 3683 km/h ? Devant ce dilemme, j'ai remarqué que mon résultat était parfaitement la valeur réelle divisée par PI. Mais où placer pi dans les équations classiques de la force centrifuge ? Merci. - La couleur du vide est proportionnelle à sa masse... 23/10/2008, 15h39 2 physastro Re Vitesse de déplacement de la lune. "Nous sommes juchés sur des épaules de géants..." 23/10/2008, 15h55 3 alain_r Re Vitesse de déplacement de la lune. Envoyé par softage Amis bonjour. En cherchant à déterminer la vitesse de déplacement radial de la lune en orbite vitesse et orbite stables, j'ai pris comme équations M1 masse terre M2 masse lune R distance terre-lune F1 = GxM1xM2 / R² pour la force centripède F2 = M1xV²/ R pour la force centrifuge Tel que F1 = - F2. En réduisant l'équation on arrive à V = racine carré de GxM2 / R Le calcul est simple sauf que le résultat donne ~ 1170 km/h, alors que la valeur connue est de 3683 km/h ? Devant ce dilemme, j'ai remarqué que mon résultat était parfaitement la valeur réelle divisée par PI. Mais où placer pi dans les équations classiques de la force centrifuge ? Merci. Votre formule est juste, sans doute avez-vous commis une erreur dans l'application numérique. Au choix confusion entre l'unité SI m/s et celle que vous voulez km/h, ou alors erreur d'un 0 qui lors du passage à la racine carrée a malencontreusement multiplié ou divisé votre résultat par racine carrée de 10, qui comme chacun sait est presque égal à pi 3,1623 au lieu de 3,1416. 23/10/2008, 16h05 4 softage Re Vitesse de déplacement de la lune. Envoyé par alain_r Votre formule est juste, sans doute avez-vous commis une erreur dans l'application numérique. Au choix confusion entre l'unité SI m/s et celle que vous voulez km/h, ou alors erreur d'un 0 qui lors du passage à la racine carrée a malencontreusement multiplié ou divisé votre résultat par racine carrée de 10, qui comme chacun sait est presque égal à pi 3,1623 au lieu de 3,1416. Merci bien à Alain_r et Physastro. En effet, je n'ai pas encore vérifié, mais le loup doit être à ce niveau. Je panche pour l'erreur de facteur 10 avant racine carré, putot qu'une erreur de conversion entre les unités rad/s m/s. La couleur du vide est proportionnelle à sa masse... Aujourd'hui A voir en vidéo sur Futura 23/10/2008, 16h49 5 Re Vitesse de déplacement de la lune. L'erreur est que, pour F2, c'est F2 = M2 * V² / R, pas M1. Tu dois prendre la masse de la lune car c'est la vitesse de la lune que tu veux calculer pas celle de la terre. Donc V = sqrtG*M1 / R. Il ne faut pas oublier aussi que cette formule est une approximation valide quand l'orbite est circulaire et la masse en orbite est négligeable par rapport à la masse centrale. Je ne sais pas d'ou te vient ta réponse de 1170km/s mais moi j'obtiens 3666 km/s avec mes chiffres. Si je prends la masse de la lune par erreur j'obtiens 406 km/h qui est environ 1/9 de la bonne réponse, c'est normal car la masse de la lune est environ 1/81 de celle de la terre, et comme V est fonction de la racine carrée de la masse, ceci explique cela. Mais ton 1170 je ne sais pas d'ou il vient. En tout cas, pi n'a rien a faire la-dedans. 23/10/2008, 16h56 6 softage Re Vitesse de déplacement de la lune. Non,non. C'est bien la masse de la terre que j'ai placé en M2. D'ailleurs, la masse M1 disparait dans la réduction de l'équation c'est normal, peu importe l'objet en orbite lune, astéroide ou boite de conserve.... Mais comme l'a dit Alain_r, c'est une simple erreur de puissance facteur 10 dans le calcul et comme pi est très proche de rcarré de 10, il y a eut comfusion. Je te remercie. La couleur du vide est proportionnelle à sa masse... 24/10/2008, 16h21 7 softage Re Vitesse de déplacement de la lune. Bon, méa culpa . C'était bien la racine du facteur 10. Ca m'apprendra à ne pas faire confiance au calcul mental ! Fin de sujet résolu La couleur du vide est proportionnelle à sa masse... Sur le même sujet Discussions similaires Réponses 45 Dernier message 04/08/2008, 18h51 Réponses 3 Dernier message 18/04/2008, 13h49 Réponses 2 Dernier message 13/03/2007, 13h08 Réponses 4 Dernier message 23/02/2006, 19h51 Réponses 1 Dernier message 14/12/2003, 06h50 Fuseau horaire GMT +1. Il est actuellement 04h40.
2 Puissances de 10 ; introduction 2.1 Grands et petits nombres Distance terre-soleil : 150 000 000km Diamètre de notre galaxie : 1 000 000 000 000 000 000 km Épaisseur d'un cheveu : 0,000 05m Diamètre d'un virus : 0,000 000 000 1m Il n'est pas pratique d'écrire beaucoup de zéros. On transforme l'écriture de ces nombres avec des
L'objectif de cette partie est d'appréhender le bilan radiatif de la Terre et de comprendre comment celui-ci détermine la température à la surface de la Terre. Il s'agit également de mettre en évidence quelques facteurs d'évolution de la température Puissance solaire atteignant la Terre• La Terre reçoit une partie de la puissance émise par son étoile, le Soleil. La proportion de la puissance solaire atteignant la Terre en haut de l'atmosphère dépend de la distance entre la Terre et le Soleil, ainsi que du rayon terrestre. La proportion de puissance solaire atteignant la Terre est très faible par rapport à la puissance solaire totale émise, mais l'énergie solaire constitue la source d'énergie permettant le fonctionnement de la quasi-totalité du vivant sur Terre.• La puissance solaire se projette sur une sphère de rayon égal à la distance Terre/Soleil, de km, et ayant pour centre le centre du Rayonnement solaire et albédo terrestre• Le bilan radiatif permet de caractériser le devenir de la puissance solaire reçue par la Terre en y incluant le globe terrestre et l'atmosphère. Une partie de la puissance solaire incidente est réfléchie par l'atmosphère et par la surface de la Terre et est donc renvoyée dans l'espace. Cette proportion réfléchie de la puissance solaire dépend de l'albédo terrestre moyen. L'albédo terrestre est défini comme la proportion d'énergie lumineuse réfléchie par la Terre par rapport à l'énergie lumineuse incidente. L'albédo terrestre moyen actuel en considérant l'atmosphère et la surface terrestre est de 0,31. Ainsi, environ 30 % de la puissance solaire atteignant la Terre en haut de l'atmosphère est réfléchie par l'atmosphère et la surface terrestre vers l'espace tandis que les 70 % restants sont absorbés par l'atmosphère et la surface valeurs de l'albédo en fonction du type de surfaceLes surfaces claires neige, glace… réfléchissant fortement le rayonnement solaire incident ont un albédo plus élevé que les surfaces sombres eau de mer, continents recouverts de végétation… qui sont moins réfléchissantes. Type de surface Albédo Forêt de feuillus 0,15 à 0,20 Mer 0,05 à 0,15 Cultures 0,15 à 0,25 Terre albédo moyen actuel 0,31 Nuage 0,5 à 0,8 Glace 0,60 Neige fraîche 0,75 à 0,90 Miroir 1• L'atmosphère terrestre absorbe une faible proportion du rayonnement solaire incident, environ 20 %. Ainsi, au final, environ 50 % du rayonnement solaire incident en haut de l'atmosphère parviennent jusqu'à la surface terrestre et sont absorbés par le par l'atmosphère terrestre du rayonnement solaire incident et du rayonnement infrarouge terrestreIII. Rayonnement infrarouge du sol et effet de serre• Lorsque le rayonnement solaire incident est absorbé par la surface terrestre, celle-ci émet un rayonnement infrarouge longueur d'onde voisine supérieure à 780 nm et inférieure à 1 mm. La puissance émise par la surface terrestre par unité de surface dans l'infrarouge augmente avec la température de cette surface plus précisément avec la puissance quatrième de cette température. Or, l'atmosphère ne laisse passer qu'environ 5 % du rayonnement terrestre infrarouge, qui est envoyé dans l'espace, tandis qu'elle en absorbe 95 %. Cette absorption de la puissance terrestre infrarouge par l'atmosphère est appelée effet de serre ». Cet effet de serre terrestre est dû aux interactions moléculaires entre le rayonnement infrarouge émis par la surface terrestre et certains gaz atmosphériques appelés gaz à effet à serre » eau, CO2, CH4…. Une partie de ce rayonnement infrarouge absorbé par l'atmosphère est réémise vers l'espace tandis que la majeure partie est réémise vers le n°2IV. Bilan énergétique terrestre un équilibre radiatif dynamique• La puissance reçue par le sol en un lieu donné est égale à la somme de la puissance reçue provenant du Soleil et de celle reçue de l'atmosphère rayonnement infrarouge absorbé par effet de serre et réémis vers le sol. La puissance reçue par le sol provenant du Soleil et celle reçue par l'atmosphère sont du même ordre de grandeur. Ainsi, la puissance totale reçue par la surface de la planète est environ égale au double de la puissance solaire absorbée par le sol. Par le phénomène de l'effet de serre, la puissance totale reçue par la surface terrestre est supérieure à la puissance solaire absorbée par le sol et même à la puissance solaire incidente en haut de l'atmosphère. La présence de l'atmosphère est donc responsable d'une température terrestre moyenne actuelle de + 15 °C, supérieure de 33 °C à la température qui régnerait sur Terre pour une même puissance solaire incidente, en absence d'atmosphère, c'est-à-dire en absence d'effet de serre.• Un corps est dit en équilibre radiatif avec le rayonnement qu'il reçoit s'il ne perd ni ne gagne d'énergie. Ainsi, l'équilibre radiatif de la Terre implique que la puissance reçue par la surface terrestre soit égale à la puissance émise par celle-ci. Ainsi, la puissance totale reçue par le sol c'est-à-dire la puissance solaire absorbée par le sol, ajoutée à celle du rayonnement infrarouge absorbé par l'atmosphère par effet de serre et réémis vers le sol est égale à la puissance terrestre émise sous forme de rayonnement infrarouge. La température terrestre résulte de cet équilibre radiatif et elle est constante au cours du temps, tant que les caractéristiques de l'équilibre demeurent inchangées. Ainsi, la température terrestre actuelle est d'environ + 15 °C.• Cet équilibre radiatif de la Terre est un équilibre dynamique, c'est-à-dire que toute modification de la puissance reçue par la Terre entraîne une modification de la puissance émise par celle-ci et inversement. L'établissement d'un nouvel équilibre radiatif s'accompagne d'une modification de la température terrestre. Actuellement, l'augmentation de la concentration des gaz à effet de serre dans l'atmosphère, libérés par les activités humaines, augmente l'intensité du rayonnement infrarouge absorbé par l'atmosphère et réémis vers le sol, ce qui modifie l'équilibre radiatif. La conséquence de la modification de cet équilibre radiatif est l'augmentation actuelle de la température terrestre.• De plus, l'augmentation de la température terrestre peut avoir comme conséquence la fonte d'une partie de la neige et de la glace d'où une réduction des surfaces enneigées et englacées à fort albédo. Le réchauffement de la surface terrestre, en diminuant l'albédo terrestre moyen, diminue la puissance solaire réfléchie et entraîne une augmentation de la puissance solaire reçue par la surface terrestre, ce qui accentue alors son radiatif terrestreLes puissances P sont reportées à la surface terrestre et les valeurs données pourcentages sont puissance solaire puissance terrestre émise rayonnement infrarouge.
2bkRRU. k2cbt6alk4.pages.dev/53k2cbt6alk4.pages.dev/73k2cbt6alk4.pages.dev/196k2cbt6alk4.pages.dev/36k2cbt6alk4.pages.dev/10k2cbt6alk4.pages.dev/80k2cbt6alk4.pages.dev/339k2cbt6alk4.pages.dev/343k2cbt6alk4.pages.dev/288
distance terre lune en puissance de 10