Situerla Terre dans le Système solaire. Connaître le nom des 8 planètes (Mercure, Vénus, Terre, Mars, Jupiter, Saturne, Uranus, Neptune). Connaître quelques caractéristiques de chaque planète. A qui s’adresse cette vidéo ? Niveau CM1 (Cours Moyen 1ère année) CM2 (Cours Moyen 2ème année) Matière Sciences et technologie, Questionner le monde Cours

L'univers est composé de milliards d'étoiles et d'autres objets célestes tels les planètes, les comètes, les astéroïdes, etc. Tous ces corps se structurent en galaxies, amas et superamas. Cependant, à grande échelle, la structure de l'univers est dite lacunaire » car celui-ci est en majorité constitué de vide. en croire les astronomes, et même si le nombre d'étoiles visibles à l’œil nu est infime, il y aurait quelque 1023 étoiles dans l' étoiles structurées en galaxiesLes étoiles s'organisent d'abord en galaxies, des structures qui s'étendent sur environ années-lumière. Il y aurait entre 100 et 200 milliards de galaxies dans l'univers tel que nous le connaissons. Celle dont fait partie le Système solaire a été baptisée la Voie lactée et regroupe quelque 100 milliards d'étoiles. La Voie lactée est une galaxie spirale, mais les galaxies peuvent aussi prendre une forme elliptique ou même galaxies structurées en amas de galaxiesLes galaxies peuvent se lier entre elles par leur force de gravitation et former des amas de galaxies d'une dizaine de millions d'années-lumière. Celui auquel appartient la Voie lactée est appelé le Groupe local ». Parmi la trentaine de galaxies qu'il abrite, on trouve notamment la fameuse galaxie d'Andromède. L'univers compterait environ 25 milliards d'amas de amas de galaxies structurés en superamasLes amas de galaxies s'organisent ensuite eux-mêmes en superamas, des structures colossales, de l'ordre de 150 millions d'années-lumière et composées de plusieurs dizaines d'amas chacune. Dans l'univers visible, il y aurait quelque 10 millions de structure lacunaire de l'univers et le vide cosmiqueAu-delà de l'aspect quantitatif, ce que l'on pourrait appeler la trame » de l'univers se présente sous la forme de filaments, comme un réseau tridimensionnel en toile d’araignée voir image ci-dessus.Entre les superamas, il existe donc d'immenses zones de vide l'univers est lacunaire », des zones qui atteindraient, pour certaines, les centaines de millions d'années-lumière. Selon les astronomes, ces zones de vide représenteraient quelque 90 % du volume total de l' par ce que vous venez de lire ? Abonnez-vous à la lettre d'information La question de la semaine notre réponse à une question que vous vous posez, forcément. Toutes nos lettres d’information
Massede la Terre : m T = 6 x 10 24 kg. Distance Terre-Lune : d = 3,8 x 10 8 m. II – Le poids et la masse. Sur Terre, le poids d’un objet est la force de gravitation exercée par la Terre sur cet objet.. On le note P.. Le poids étant une force, il s’exprime en Newton et se mesure avec un dynamomètre.. On représente le poids par un segment fléché dont les caractéristiques sont :
Les différentes étapes de la formation du système solaire contraction d’un nuage d’hydrogène et d’hélium, aplatissement du système, formation de planétésimaux, mise en route des réactions nucléaires au centre, apparition du système sous sa forme actuelle. Source inconnue. Tout modèle de la formation du système solaire doit être en mesure d’expliquer l’état actuel de celui-ci. Avant de voir comment notre système s’est formé, rappelons donc quelques-unes de ses caractéristiques. Le système solaire contient huit planètes. Celles-ci peuvent être classées en deux groupes les planètes telluriques, de dimension et de masse réduites mais de forte densité Mercure, Vénus, la Terre et Mars, et les géantes gazeuses, de dimension et de masse beaucoup plus grandes mais de faible densité Jupiter, Saturne, Uranus et Neptune. Les orbites des planètes autour du Soleil sont à peu près toutes contenues dans un même plan, appelé le plan de l’écliptique. Le système solaire apparaît donc très aplati de l’extérieur. C’est d’ailleurs pour cette raison qu’un observateur terrestre les voit toujours se déplacer dans une bande très étroite du ciel appelée le Zodiaque. Le moment angulaire dans le système solaire Une caractéristique importante car contraignante pour les modèles de formation est la répartition du moment angulaire. Cette grandeur caractérise la rotation ou la révolution d’un corps et s’obtient en combinant la masse, la vitesse de déplacement angulaire et la distance à l’axe de rotation ou de révolution. La théorie montre que le moment angulaire d’un système isolé doit être invariable dans le temps. Le système solaire lors de sa formation avait donc un moment angulaire identique à celui que nous pouvons encore mesurer à l’heure actuelle. Par contre, la répartition du moment entre le Soleil et les planètes peut très bien avoir varié. De nos jours, alors que notre étoile contient à elle seule 99 pour cent de la masse totale du système solaire, elle ne contient que 3 pour cent de son moment angulaire total. Ceci est un point très important qui permet d’éliminer les théories trop simplistes incapables d’expliquer la distribution actuelle. La formation du système solaire Passons donc à l’histoire de la formation de notre système. La description qui suit est un modèle globalement admis, même si ses détails font encore l’objet de maintes discussions. Au départ, il y a environ 10 milliards d’années, ce qui deviendra un jour le système solaire n’est qu’une fraction minuscule d’un gigantesque nuage d’hydrogène et d’hélium qui poursuit son ballet autour du centre galactique. Au fur et à mesure que le temps passe, ce nuage se contracte doucement et s’enrichit en éléments plus lourds lors de l’explosion d’étoiles massives aux alentours, ce qui explique que l’abondance actuelle d’éléments lourds est de l’ordre de 2 pour cent. Finalement, il y a 4,6 milliards d’années, sous l’effet de sa propre gravité, ce nuage s’effondre sur lui-même et se fragmente en une série de nuages de dimension plus réduite dont l’un deviendra le système solaire. L’évolution du protosystème solaire Le protosystème maintenant bien défini continue à se contracter de plus en plus. Mais, d’après la loi de conservation du moment angulaire, si la taille d’un corps se réduit, sa vitesse de rotation doit augmenter pour compenser. La contraction du protosystème s’accompagne donc d’une forte augmentation de la vitesse de rotation. De plus, comme le protosystème n’est pas rigide, un fort aplatissement se produit dans le plan perpendiculaire à l’axe de rotation. On se retrouve ainsi finalement avec une concentration de matière au centre, la protoétoile, entourée d’un disque de matière appelé le disque protoplanétaire. C’est ici qu’intervient notre connaissance de la distribution du moment angulaire. Dans les modèles de formation les plus simples, le système solaire est le résultat d’une simple contraction d’un nuage de gaz en rotation. Mais ceci devrait se traduire par une vitesse de rotation du Soleil incompatible avec le fait qu’il ne possède que 3 pour cent du moment angulaire total. En réalité, la protoétoile va être ralentie sous l’action de forces magnétiques. Dans les conditions physiques qui règnent à l’époque, une variation du champ magnétique entraîne automatiquement une variation de la distribution de matière et réciproquement – on dit que les lignes de champ magnétique sont gelées dans la matière. Or les lignes de champ magnétique qui traversent le protosystème sont déformables mais seulement de façon limitée. Cette rigidité est transmise à la matière, ce qui crée un lien entre la protoétoile et le disque protoplanétaire. C’est grâce à ce lien que la région centrale est freinée et perd peu à peu son moment angulaire au profit du disque qui tourne de plus en plus vite. Sous l’effet du ralentissement, la force centrifuge subie par la protoétoile baisse et finalement l’éjection de matière s’arrête. A partir de ce moment, les deux sous-systèmes précédemment liés ont une évolution indépendante. Au centre, la protoétoile continue de se contracter et sa température augmente rapidement. Finalement, les réactions nucléaires de fusion se mettent en route et l’étoile que nous connaissons apparaît. La formation des planètes Dans le disque protoplanétaire, les atomes s’agglomèrent au fur et à mesure de leurs rencontres pour devenir des poussières. Celles-ci se regroupent elle-mêmes pour former des petits corps appelés planétésimaux. Cette étape dure quelques millions d’années. Du fait de la turbulence dans le disque, des fluctuations de densité apparaissent et évoluent pour aboutir à des corps de grande dimension, dans un processus appelé l’accrétion. Ces corps continuent à capturer les planétésimaux qu’ils trouvent sur leur chemin et atteignent finalement le stade de planète. La principale phase d’accrétion se termine il y environ 4,4 milliards d’années, même si d’intenses bombardements se poursuivent encore pendant un milliard d’années. L’aspect final des planètes dépend de la distance au Soleil. Près de celui-ci, les éléments légers reçoivent beaucoup d’énergie et sont trop chauds pour se condenser. Le matériau qui constitue ces planètes est donc riche en éléments lourds, tels le fer ou le silicium, ce qui explique leur forte densité. Loin du Soleil, l’accrétion de planétésimaux est à l’origine d’un noyau dense qui constitue le point de départ pour une croissance ultérieure. Autour de ce noyau s’accumule une enveloppe de gaz et l’on aboutit à une planète très volumineuse et massive, mais essentiellement constituée d’hydrogène et donc peu dense. Une image extraordinaire du disque protoplanétaire de l’étoile HL Tauri, située à 450 années-lumière dans la constellation du Taureau. L’image a été prise par l’observatoire ALMA. Dans le disque qui s’est formé autour de l’étoile centrale, les particules de poussière interagissent et fusionnent pour former des corps de plus en plus grands qui deviendront astéroïdes, comètes et planètes. La formation de ces dernières va nettoyer le disque de poussière et créer les bandes sombres que l’on observe ici. Cette image fera date puisqu’il s’agit de la première observation d’une telle structure en bandes. Crédit ALMA ESO/NAOJ/NRAO Mis à jour le 13 octobre 2019 par
Exercicescorrigés évaluation système solaire 5ème. Relier les connaissances scientifiques sur les risques naturels en liens avec les activités humaines (mesures de prévention, de protection). EXERCICES. La classe de 5ème marque le début du cycle 4 d'apprentissage au collège. La structure du système solaire : 5ème.

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Chapitre6 : Dans quels milieux et à quelle vitesse se propage la lumière ? Cartes mentales Méthodologie L'écriture scientifique 10. Pourquoi la lune tourne-t-elle autour de la Terre ? Le système solaire . Exercice pour retrouver les planètes Le lanceur de marteau Les marées . La gravitation. Le lanceur n'a pu être chargé. Voir l'animation La gravitation sur https://portail
Objectif Décrire la structure du système solaire. Niveau préconisé 5e Points clés Le système solaire appartient à une galaxie, la Voie lactée, qui regroupe plusieurs centaines de milliards d'étoiles. Le système solaire est constitué d’une étoile, le Soleil, et de l'ensemble des astres qui orbitent autour de lui planètes, comètes, astéroides, etc.. Les huit principales planètes sont Mercure, Venus, La Terre, Mars, Jupiter, Saturne, Uranus, Neptune. La Terre, Mars, Jupiter, Saturne, Uranus et Neptune possèdent un ou plusieurs satellites naturels qui tournent autour de ces planètes. La Lune est le satellite naturel de la Terre. 1. Place du système solaire dans l'Univers Notre système solaire fait partie de la galaxie appelée Voie lactée » qui contient des milliers d’autres étoiles. La Voie lactée est observable dans des conditions optimales sous forme d'une bande blanchâtre dans le ciel nocturne. La Voie lactée photographiée par le télescope spatial Hubble Le système solaire représente une minuscule partie de la Voie lactée. Le système solaire et la Voie lactée La Voie lactée n'est elle-même qu'une galaxie parmi des milliards d'autres. 2. Les astres du système solaire a. Le Soleil Le Soleil est l'étoile située au centre du système solaire et la plupart des astres tournent autour de lui. Le Soleil Le Soleil s'est formé il y a environ 4,5 milliards d'années à partir d'un gigantesque nuage de gaz et de poussières. Il est l'astre qui possède la masse la plus élevée et les dimensions les plus importantes par rapport aux planètes qui tournent autour. Il renferme à lui seul plus de 99 % de la masse de l'ensemble du système solaire. b. Les planètes Autour du Soleil tournent huit planètes. Ces planètes sont les satellites du Soleil. Les planètes du système solaire Ces huit planètes, de la plus proche à la plus éloignée du Soleil, sont Mercure, la plus petite ; Vénus, improprement appelée l'étoile du berger ; la Terre, aussi appelée la planète bleue à cause de la couleur que lui donnent les mers et océans recouvrant près des deux tiers de sa surface ; Mars, appelée la planète rouge ; Jupiter, la plus grosse planète du système solaire ; Saturne, entourée d'anneaux constitués de roche et de glace ; Uranus ; Neptune. Remarque On a longtemps considéré que Pluton était la neuvième planète du système solaire, mais à cause de sa petite taille, elle est désormais classée dans la catégorie des planètes naines. On ne la considère plus comme une planète du système solaire. Les planètes et leurs satellites tournent autour du Soleil selon une trajectoire qui décrit une ellipse trajectoire elliptique, c’est-à-dire ovale cette trajectoire est appelée orbite. Toutes les planètes du système solaire tournent à une vitesse différente. c. Les satellites Certaines planètes sont entourées d'astres plus petits qu'elles on les appelle des satellites naturels. Le satellite naturel de la Terre est la Lune. La Lune, satellite naturel de la Terre Mars en possède deux de taille modeste Deimos et Phobos et les planètes gazeuses Jupiter, Saturne, Uranus et Neptune en possèdent plus d'une dizaine de taille variable. Tous ces satellites naturels possèdent également une trajectoire circulaire autour de leur planète. Remarque La Terre est également entourée de satellites artificiels », lancés par l'homme, qui ont également une orbite presque circulaire. d. Les astéroides Le système solaire comporte aussi d'autres astres appelés astéroïdes. Un astéroide a une taille nettement plus faible que celle d'une planète et est essentiellement constitué de roche et de glace. La majorité d'entre eux font partie de la ceinture d'astéroides située entre Mars et Jupiter. Sauf en cas de perturbation, ces astéroïdes décrivent également un cercle autour du Soleil. Ceinture d'astéroides e. Les Comètes Une comète est composée de roches et de glace, mais contrairement à l'astéroide son orbite est une ellipse très aplatie. Des comètes dans le ciel Une comète lumineuse Les comètes passent périodiquement à proximité du Soleil et sont alors accompagnées d’une longue trainée lumineuse, constituée de gaz et de poussières, due à la vitesse de la comète à proximité du Soleil et à son interaction avec le vent solaire. Vous avez déjà mis une note à ce cours. Découvrez les autres cours offerts par Maxicours ! Découvrez Maxicours Comment as-tu trouvé ce cours ? Évalue ce cours !
La Terre est une planète où la vie est apparue. Elle fait partie du système solaire. – Dans le système solaire, huit planètes gravitent (tournent) autour d’une étoile, le Soleil. – Les quatre planètes les plus proches du Soleil,
Accueil 6eme Partie A Organisation et transformations de la matière Chap 1 Description de la matière Chap 2 Propriétés de la matière Chap 3 Les mélanges Partie B Mouvements et interactions Chap 1 Décrire un mouvement Chap 2 La Terre dans le système solaire Partie C L’énergie, ses transferts et ses conversions Chap 1 Sources et formes d'énergie Chap 2 Le circuit électrique Partie D Des signaux pour observer et communiquer 5eme Partie A Organisation et transformations de la matière Partie B Mouvements et interactions Partie C L’énergie, ses transferts et ses conversions Partie D Des signaux pour observer et communiquer 4eme Partie A Organisation et transformations de la matière Chap 1 Identifier des espèces chimiques Chap 2 L'air qui nous entoure Chap 3 Une description moléculaire pour comprendre la matière Chap 4 Les transformations chimiques Partie B Mouvements et interactions Chap 1 La vitesse et ses variations Chap 2 Interactions et forces Partie C L’énergie, ses transferts et ses conversions Chap 1 L'intensité du courant Chap 2 La tension électrique Chap 3 La résistance électrique Partie D Des signaux pour observer et communiquer Chap 1 Les signaux lumineux Chap 2 Les signaux sonores 3eme Partie A Organisation et transformations de la matière Chap 1 Les éléments chimiques dans l'Univers Chap 2 Les ions, des particules chargées Chap 3 Acides bases et transformations chimiques Partie B Mouvements et interactions Chap 1 Système solaire et gravitation Chap 2 Poids et masse Partie C L’énergie, ses transferts et ses conversions Chap 1 L'énergie au cours d'un mouvement Chap 2 Production d'électricité Chap 3 Puissance et énergie Chap 4 l'énergie chimique et ses conversions Partie D Des signaux pour observer et communiquer Chap 1 Les signaux lumineux Chap 2 Les signaux sonores Révisions du brevet des collèges Fiches méthodes Illustrations Contact Formulaire de contact Envoi de fichier
Enjuillet 2008 est venu s'ajouter Makemake, puis le 17 septembre 2008 Haumea. Sans tenir compte de cette nouvelle classification, les autres termes tels ceux d'astéroïde ou d'objet de la ceinture de Kuiper continuent à s'appliquer. Ces termes sont basés sur la situation de l'objet dans le système solaire ou sa composition. (1) Cérès I – Naissance et évolution de l’Univers 1 Le big bang L’histoire de l’univers est une longue saga d’environ 13,7 milliards d’années. L’Univers est né à partir d’un point très dense et très chaud. Au début, tout n’est qu’énergie. L’espace alors entre dans une violente expansion. Les premières particules apparaissent des électrons et des quarks qui s’associent pour former des protons et des neutrons. Puis les protons et neutrons s’associent pour former des noyaux d’hydrogène et d’hélium. Puis 380 000 ans après le big bang, les électrons sont captés par les noyaux pour former des atomes d’hydrogène et d’hélium. 2 Les premières étoiles Dans des zones plus denses et plus froides de l’univers en formation, des particules se regroupent grâce à la gravité et forment des étoiles et des galaxies. Dans des étoiles très massives, des réactions de fusion nucléaire donnent naissance à de nouveaux éléments plus lourds comme, l’oxygène, le carbone, le fer, le silicium… Ces étoiles finissent par exploser ce qui permet de disperser dans l’univers en formation de nouveaux éléments qui vont donner naissance à des étoiles de 2ème génération comme notre Soleil. Si les conditions sont idéales, c’est à partir de cette matière libérée que pourra naître la vie. 3 La formation du système solaire Notre galaxie, la Voie lactée, s’est formée il y a environ 10 milliards d’années. Notre soleil a pour origine un nuage de gaz et de poussières appelé nébuleuse qui s’est rassemblé, concentré pour former une étoile, il y a 4,6 milliards d’années. Les restes de gaz et poussières se sont ensuite rassemblés pour former des planètes, notamment la Terre, quelques dizaines de millions d’années plus tard. Formés à partir de la même matière, tous ces corps sont composés des mêmes atomes. II – Description de l’univers 1 Le système solaire Les planètes tournent autour d’étoiles. L’ensemble des planètes, dont la Terre, qui tournent autour du Soleil forment le Système Solaire. Le système solaire est un système planétaire composé d’un ensemble d’objets célestes planètes et leurs satellites, astéroïdes, comètes qui orbitent ou gravitent autour d’une étoile, le Soleil. Le Soleil représente à lui seul plus de 99% de la masse totale du système solaire. Depuis le Soleil, on trouve les planètes telluriques à surface rocheuse Mercure, Vénus, la Terre et Mars, une ceinture d’astéroïdes, les planètes géantes gazeuses Jupiter, Saturne, Uranus et Neptune, la ceinture de Kuiper. Elles dessinent des trajectoires pratiquement circulaires autour du Soleil. Excepté les planètes les plus proches du Soleil Mercure et Vénus, toutes les planètes ont des satellites naturels. La Lune est l’unique satellite naturel de la Terre. 2 Au delà du système solaire Les étoiles s’organisent d’abord en galaxies, des structures qui s’étendent sur environ années-lumière. Il y aurait entre 100 et 200 milliards de galaxies dans l’univers tel que nous le connaissons. Celle dont fait partie le Système solaire a été baptisée la Voie lactée et regroupe quelque 100 milliards d’étoiles. La Voie lactée est une galaxie spirale, mais les galaxies peuvent aussi prendre une forme elliptique ou même irrégulière. Les galaxies se regroupent au sein d’amas. Les galaxies peuvent se lier entre elles par leur force de gravitation et former des amas de galaxies d’une dizaine de millions d’années-lumière. Celui auquel appartient la Voie lactée est appelé le Groupe local ». Parmi la trentaine de galaxies qu’il abrite, on trouve notamment la fameuse galaxie d’Andromède. L’univers compterait environ 25 milliards d’amas de galaxies. Les amas se regroupent au sein de superamas, des structures gigantesques, de l’ordre de 150 millions d’années-lumière et composées de plusieurs dizaines d’amas chacune. Le Groupe Local appartient au superamas de la Vierge. Dans l’univers visible, il y aurait quelque 10 millions de superamas. Les superamas s’organisent enfin en filaments, comme un réseau tridimensionnel en toile d’araignée. Entre les superamas, il existe donc d’immenses zones de vide l’univers est dit lacunaire », des zones qui atteindraient, pour certaines, les centaines de millions d’années-lumière. Selon les astronomes, ces zones de vide représenteraient quelque 90 % du volume total de l’univers. Conclusion L’univers est constitué de milliards d’étoiles et de nombreux autres objets célestes tels les planètes, les comètes, les astéroïdes, etc. Tous ces corps se structurent en galaxies, amas et superamas. Cependant, à grande échelle, la structure de l’univers est dite lacunaire » car celui-ci est en majorité constitué de vide. III – La matière dans l’univers 1 L’univers L’univers est constitué principalement d’hydrogène et d’hélium. 2 Notre soleil Les réactions thermonucléaires à l’intérieur des étoiles créent une grande partie des éléments compris entre le lithium et le fer, qui sont des éléments plus lourds que l’hydrogène et l’hélium. 3 Notre planète Elle est principalement composée de fer 32,1 %, d’oxygène 30,1 %, de silicium 15,1 %, de magnésium 13,9 %, de soufre 2,9 %, de nickel 1,8 %, de calcium 1,5 % et d’aluminium 1,4 %, le reste 1,2 % consistant en de légères traces d’autres éléments. Ces éléments proviennent de réactions au cœur des étoiles ou résultent de l’explosion d’étoiles massives. IV – De l’infiniment grand à l’infiniment petit 1 L’infiniment petit La matière qui nous entoure est constituée à partir d’atomes, eux-mêmes constitués d’un noyau constitué de protons et de neutrons autour duquel tournent des électrons. Remarque Les protons et neutrons sont eux-mêmes constitués de particules appelées Quarks. Ce sont les plus petites particules connues à ce jour… Ces atomes peuvent s’assembler pour former des molécules. Ces molécules s’organisent pour former la matière. L’ordre de grandeur du diamètre d’un atome est le dixième de nanomètre soit 10-10 m et celui du noyau de l’atome est compris entre 10-14 m et 10-15 m. 2 L’infiniment grand Quelques distances dans le système solaire et la Voie Lactée Terre-Lune = 384 400 km distance moyenne Terre-Soleil = 150 000 000 km Soleil-Neptune = 4,498 milliards km = 4 498 000 000 km. Soleil-Proxima du centaure étoile la plus proche du Soleil = 39 900 000 000 000 km = 3,99 x 1016 m Les distances dans l’Univers étant gigantesques et il a donc été nécessaire de créer des unités de distance adaptées. Unité Astronomique Pour mesurer des distances dans le système solaire, on utilise l’Unité Astronomique. 1 Unité Astronomique ua correspond à la distance séparant la Terre du Soleil soit environ 150 000 000 km. Précisément 1 ua = 149 597 870 700 mètres. Exemples distance Terre-Soleil = 1 ua distance Soleil-Neptune = 4 498 000 000 000 m / 149 597 870 700 m = 30 ua L’année-lumière Pour mesurer les distances entre les étoiles, galaxies ou amas de galaxies on utilise l’année-lumière. L’année-lumière est la distance parcourue par la lumière en 1 année dans le vide. Sachant que la vitesse de la lumière ou célérité de la lumière dans le vide est de 300 000 km/s = 3 x 108 m/s et qu’une année représente 365 jours, alors 1 al = 365 jours x 24 h x 3600 s x 3 x 108 m/s = 9,46 x 1015 m = x 1012 km. Exemple Distance Soleil-Proxima du centaure = 3,99 x 1016 m / 9,46 x 1015 m = 4,2 al Cette distance signifie que si on pouvait se déplacer à la vitesse de la lumière, il faudrait 4,2 ans pour atteindre l’étoile la plus proche du Soleil. De même, comme la lumière provenant de cette étoile met 4,2 ans à nous parvenir, lorsqu’on l’observe depuis la Terre, on la voit telle qu’elle était il y a 4,2 années. C’est pour cela que l’on dit Voir loin, c’est voir dans le passé » L’Univers s’étend sur 13,7 milliards d’années-lumière soit Dimension Univers = 13,7 x 109 x 9,46 x 1015 ≈ 1,3 x 1026 m !!! On remarque que l’homme fait la liaison entre l’infiniment petit et l’infiniment grand. 3 Propriété commune entre l’infiniment grand et l’infiniment petit Les structures infiniment petites et infiniment grandes ont en commun leur structure lacunaire. En effet, l’atome est essentiellement constitué de vide et la matière se concentre dans un noyau 100 000 fois plus petit que l’atome lui-même. De même, entre les galaxies, amas et superamas de galaxies règne un quasi vide. Vidéode la mission Rosetta : Un deuxième temps permet de situer ces différents astres ou structures sur une carte du système solaire. L’application solarsystemscope permet de voyager dans le système solaire. (cf. page de présentation ICI) Séance 3 : recherche documentaire sur quelques astres Copyright © 2022, Designed for Your Websites. 3PTrclN.
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