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NathalieVerpeaux, Des religieuses, les pieds sur terre et la tête dans le ciel. Saint-Andoche et Saint-Jean-le-Grand d’Autun au Moyen Âge, Turnhout, Brepols (Ecclesia militans, 4), 2016.. 1Cet ouvrage est la publication de la thèse de doctorat de Nathalie Verpeaux soutenue sous la direction de Michel Parisse.Il en livre la totalité des résultats, ce qui est rare et ce dont on doit
En matière de reproduction sexuelle, les mantes religieuses ont des mœurs quelque peu effrayantes. De son côté, Madame a plutôt l'amour vache ! Quant à Monsieur, il aime à en perdre la tête... Mais, lassé d'être dévoré pour pérenniser son espèce, le mâle a trouvé la technique pour copuler sereinement et contrer ce rituel fatal. C'est ce qu'ont découvert des scientifiques, curieux de comprendre comment l'espèce a pu continuer d'exister malgré ce cannibalisme sexuel vous intéressera aussi [EN VIDÉO] Le secret des ailes d’insecte Les veines parcourant les ailes de criquets pèlerins constitueraient de bons renforts pour limiter la propagation de déchirures. L'approche est brutale, mais ils n'ont pas le choix certains mâles mantes religieuses blessent leur partenaire pour la forcer à s'accoupler, évitant ainsi de se faire trancher la tête avant de convoler, comme certaines femelles en ont la fâcheuse habitude, selon une étude parue mercredi dans la revue Biology Letters. Ces insectes sont connus pour leurs pratiques sexuelles conflictuelles, où il arrive à la femelle de décapiter le mâle avant, pendant ou après l'acte de reproduction, pour mieux le dévorer, et récupérer l'énergie nécessaire à sa future ponte. Ce cannibalisme sexuel » existe aussi chez certaines araignées où, comme chez la mante, le sexe agresseur est plus grand et plus fort que le sexe phénomène est particulièrement répandu chez la mante Springbok » Miomantis caffra, vivant notamment en Nouvelle-Zélande dans 60 % des interactions sexuelles, les malheureux mâles se font consommer avant même d'avoir pu copuler. Au regard de l'évolution, les femelles de cette espèce n'ont nulle raison de freiner leur féroce appétit car elles sont capables d'auto-féconder leurs œufs, et donc de se passer de Monsieur - un mode de reproduction monoparental appelé parthénogenèse ».Une équipe de biologistes s'est logiquement demandé comment les mâles pouvaient continuer à exister dans des conditions aussi hostiles. Ils ont récolté des spécimens adultes de Miomantis caffra en Nouvelle-Zélande, pour apparier 52 couples dans des boîtes transparentes pendant 24 heures, afin de suivre de près le déroulé des stratégie de la coercition sexuelle »Résultat c'est toujours le mâle qui allait au contact, en bondissant sur la femelle. Elle l'agressait en retour, et s'en suivait une bagarre où chaque sexe essayait de dominer l'autre, en l'agrippant avec ses pattes ravisseuses. Dans 35 % des combats, la femelle l'emportait et consommait sa proie. Mais, dans la majorité des cas près de 60 %, c'est le mâle qui prenait le dessus. Une fois sa partenaire neutralisée, il la contraignait à s'accoupler pour fertiliser ses tactique percer l'abdomen de son adversaire avec ses griffes antérieures, une blessure non mortelle entraînant une perte d'hémolymphe liquide jouant le rôle de sang pour les invertébrés, et laissant une cicatrice noire sur le corps de la femelle. J'ai été très surpris qu'ils les blessent pour s'accoupler. Jamais rien de tel n'avait été observé chez la mante », raconte à l'AFP Nathan Burke, spécialiste de l'évolution des sexes chez les animaux à l'Université d'Auckland. L'étude conclut que les mâles qui perdaient la bataille étaient systématiquement mangés, tandis que les vainqueurs augmentaient fortement leurs chances de copuler et d'échapper à la cannibalisation - certains individus finissaient tout de même engloutis après l' stratégie de coercition sexuelle » est assez fréquente chez les animaux insectes, reptiles, poissons, mammifères, mais rare concernant une espèce se livrant au cannibalisme sexuel. Probablement parce que, dans ce cas, les femelles sont beaucoup plus grandes, et que se soumettre à leur force est trop dangereux », avance Nathan dimorphisme sexuel » incite généralement le mâle à la plus grande prudence pour aborder sa partenaire - comme s'il jouait à la roulette russe ». Il peut attendre par exemple qu'elle ait le dos tourné ou qu'elle soit occupée à déguster une autre proie avant de tenter sa chance. L'approche agressive de Monsieur mante Springbok » est donc étonnante. Fait-elle exception parmi les près de espèces de mantes ? Nous l'ignorons à ce stade. Peut-être que d'autres se comportent ainsi, mais personne n'a encore regardé », conclut le La reproduction des animaux en 14 drôles de pratiquesLa reproduction des lapins Les pratiques sexuelles et la reproduction des lapins sont entrées dans le langage courant. On dit, par exemple, faire l'amour comme des lapins ». Cela n'a rien d'étonnant puisque les mâles sont littéralement obsédés et, selon l'expression consacrée, sautent sur tout ce qui bouge ». N'en déplaise à notre moralité, la mère et les sœurs figurent parfois sur le tableau de chasse du lapin. En découlent, au bout d’un mois environ, des portées nombreuses, qui atteindront la maturité sexuelle en six mois environ. Une estimation théorique considère qu’un couple de lapins peut engendrer durant sa vie entière près de descendants même si tous ne survivent pas. Il faut bien jouer sur la quantité étant donné le nombre de prédateurs qui intègrent ces rongeurs aux grandes oreilles à leur menu. © Sexual Nature, London’s Natural History Museum La bonellie verte femelle et ses mâles microscopiques Chez certaines espèces, le dimorphisme sexuel est particulièrement marqué, c’est-à-dire que mâles et femelles se distinguent au premier coup d’œil. C’est le cas des cerfs, de nombreux oiseaux ou des araignées, par exemple. Le cas le plus frappant est probablement celui de la bonellie verte. Chez ce ver marin, muni d’une longue trompe, la femelle peut mesurer jusqu’à 1 m de long ici rétractée sur la photo. Cette trompe sert à se nourrir, mais aussi à aspirer les mâles, des larves de quelques micromètres de diamètre. Leur vie se résume à une seule activité produire des spermatozoïdes pour féconder la femelle. Si cela n’est pas original… © Sylvain Ledoyen, Wikipédia, CC by-sa Reproduction le gorille, pas forcément une bête de sexe La croyance populaire représente le gorille comme un animal agressif et très porté sur la chose. Le film King Kong ou la chanson de Georges Brassens Gare au gorille en attestent. Ce grand singe est pourtant bien pacifique et n'a pas un goût très prononcé pour le sexe, ce qui ne facilite pas sa reproduction. Le mâle dispose cependant d'un harem de femelles, qu'il ne satisfait pas souvent. À leur grand dam, puisque celles-ci se livrent parfois à des plaisirs homosexuels. Tout de même, le mâle peut faire preuve d'un peu de tendresse, mais seulement lorsqu'il s'agit de prendre du bon temps. En revanche, quand il est question de reproduction, celui-ci ne fait pas dans la dentelle et ne se montre pas bien délicat… © Stefan Gara, Fotopédia, CC by-nc-nd L'homosexualité chez les animaux l'insecte tribolium L'homosexualité ne concerne pas que les vertébrés supérieurs. Ainsi, le tribolium mâle, un insecte, n'hésite pas à libérer sa semence sur un autre mâle. Les scientifiques ont réfléchi à la question et proposent deux hypothèses pour expliquer ce comportement L'une considère qu'en répandant ses spermatozoïdes, il a plus de chance d'atteindre les femelles en utilisant un autre seconde se demande plutôt si les premiers spermatozoïdes ne sont pas inefficaces. Le mâle s'en débarrasserait alors sur un de ses congénères masculins et réserverait ceux de bonne qualité pour les femelles. © Eric Day, Virginia Tech, Wikipédia, DP L'homosexualité de la mouette rieuse mâle Les pratiques homosexuelles ne sont pas rares dans le monde animal, contrairement aux idées reçues. Chez la mouette rieuse mâle, l'appariement entre individus du même sexe concerne 20 % d'entre eux. Lors de la saison de reproduction, il arrive que des œufs roulent ou n'aient plus de parents pour s'en occuper. Une aubaine pour ces couples homosexuels qui vont alors porter toute leur attention pour le bien du petit à naître. En revanche, la saison suivante, il est possible que chacun de ces mâles décide de former un couple… avec une femelle cette fois. © gidzy, Wikipédia, CC by Bonobos le sexe pour tisser les liens sociaux Si, dans la majorité des espèces, la sexualité a vocation de reproduction, il est des espèces où elle représente bien plus. Les grands singes sont particulièrement remarquables à cet égard. Il y a l'Homme, évidemment, mais les orangs-outangs s'adonnent parfois à des plaisirs à deux sans aucune intention de reproduction, pratiquant par exemple le sexe oral. Les bonobos restent cependant l'exemple le plus marquant. Ces chimpanzés nains ont fondé leur société autour du sexe. Tandis que leurs cousins les plus proches s'énervent et se disputent, eux préfèrent se lancer dans des joutes sexuelles afin de tisser des liens sociaux et de résoudre les conflits. Pas de tabou petits ou grands, mâles ou femelles, jeunes ou moins jeunes, tout le monde y passe. Ces singes érotiques nous mettent face à notre propre morale. © collisionality, Fotopédia, CC by-nc-nd Comment l'araignée se reproduit-elle ? Contrairement à la plupart des mammifères, pour lesquels les mâles sont plus grands que les femelles, les règles sont inversées chez les araignées. Ces derniers tentent alors de se montrer discrets et de se faire tout petits, car ils risqueraient d'être dévorés. Pour se reproduire, ils prélèvent directement le sperme à la source à l'aide de leurs pédipalpes, ces membres buccaux que l'on pourrait confondre avec des antennes. Ils marchent à pas de loup sur la toile de leur belle, de façon à ne pas la faire vibrer car ils seraient alors pris pour des proies et dévorés en quelques instants. Malgré ses paires d'yeux, la femelle ne voit pas le mâle approcher. Celui-ci en profite et dépose sa semence dans l'orifice de sa partenaire avant de détaler plus loin, de peur de se faire croquer. Il ne s'occupera pas du soin des petits. Chez certaines espèces, comme Stegodyphus lineatus, la mère joue son rôle entièrement et commet le sacrifice ultime lors de la naissance, elle se laisse dévorer par ses petits afin qu'ils aient de quoi se nourrir. Une mère dévouée, des enfants indignes… Preuve que ce qui compte, ce n'est pas la survie individuelle, mais la transmission des gènes. © JoaquinPortela, Wikipédia, CC by-sa Parthénogenèse des lézards qui se reproduisent tout seuls Le sexe n'est pas le seul moyen de se reproduire. D'ailleurs, il n'est apparu qu'il y a entre 1,5 et 1 milliard d'années, sachant que les premiers êtres vivants remontent à près de 4 milliards d'années. Ceux-ci se multipliaient dans un premier temps par division cellulaire. Cela existe toujours chez de nombreuses espèces bactériennes, de champignons ou de plantes. Des animaux primitifs n'hésitent pas à y recourir. En revanche, chez les vertébrés, c’est bien plus rare, voire exceptionnel. Il existe des requins capables de parthénogenèse, c'est-à-dire qui sont en mesure de se reproduire seuls. Cela n'affecte alors que les femelles. Cependant, ces dernières savent aussi se reproduire avec des mâles. En revanche, les lézards à queue en fouet sont un cas très particulier. Les mâles ont été évincés et ont disparu. Il ne reste que des femelles… qui font des bébés toutes seules, par parthénogenèse. Pratique mais risqué, car en cas de changement environnemental, aussi bien climatique que viral, le manque de diversité génétique peut exterminer tous ces clones. Seulement, ces femelles ont malgré tout besoin d'être stimulées pour ovuler un vestige de l'évolution. Alors, elles s'apparient et mènent un simulacre de rapport sexuel entre filles. Cela nous renvoie une question à nous, êtres humains, peut-être douloureuse pour certains les hommes sont-ils indispensables ? © Paul Asman et Jill Lenoble, Wikipédia, CC by Chez les jacanas, la femelle est infidèle, le mâle dévoué Le mâle veut souvent s'assurer qu'il est bien le père de ses enfants. Chacun a sa technique. La libellule, par exemple, reste sur le dos de la femelle durant un long moment, empêchant un rival de prendre position. En revanche, chez le jacana, cet oiseau à l'image, les mâles tolèrent l'infidélité de leur femelle. L'un d'eux la féconde, puis elle pond ses œufs. C'est ensuite au père d'assurer s'il veut une descendance. Il couve alors le nid et madame va un peu plus loin retrouver un autre mâle à qui elle propose les mêmes faveurs, et ainsi de suite. Dans la vie de couple, il faut toujours trouver des compromis ! © Hans Hillewaert, Wikipédia, CC by-sa Le cerf use de ses bois et combat pour la femelle Les cerfs ne résistent pas aux yeux de biche de leurs femelles. Toutefois, celles-ci se montrent difficiles et exigent le meilleur. Les mâles jouent le jeu et s'engagent dans des joutes physiques impressionnantes. Bois contre bois, ils jaugent la force de leurs adversaires qu'ils tentent d'intimider. À la fin du duel, il n'en reste qu'un seul, celui qui a su se montrer le meilleur combattant. Pour ce beau spectacle qui leur a été offert, les femelles acceptent de devenir le trophée de guerre les voici fécondées par le plus fort. © Sexual Nature, London’s Natural History Museum L'émeu d'Australie, un oiseau qui pèse le bien… et le mâle ! L'émeu, oiseau coureur australien, a une conception de la séduction qui pourrait nous dépasser. Pour déterminer quel mâle aura le droit de la courtiser, la femelle laisse ses prétendants s'asseoir sur elle. Pas très galant, n'est-ce pas ? Pourtant, ce qu'elle cherche, c'est le plus lourd… Pourquoi ? Parce que lorsqu'elle se reproduit, elle pond un œuf imposant, presque aussi gros que celui de l'autruche, ce qui lui demande énormément d'énergie. Une fois l'œuf au fond du nid, elle part en quête de nourriture pour reconstituer ses réserves. C'est alors au mâle de couver non-stop. Celui-ci doit être bien pourvu en graisses pour tenir la durée. Une femelle a donc tout intérêt de choisir un mâle bien en chair… © aussiegall, Flickr, CC by La reproduction des renards ils restent liés Le renard est un canidé ayant une façon de faire la chose plutôt originale. Tout se passe d'abord de manière plutôt classique le mâle monte sur le dos de la femelle, mais c'est là que le coït prend une étrange tournure… Les canidés étant globalement des animaux sociaux sous l'autorité d'un couple dominant, le mâle veut s'assurer qu'aucun rival ne puisse féconder la femelle dans son dos. Lors du rapport sexuel, le pénis gonfle et les deux amoureux ne peuvent se séparer. Ils se retournent et se retrouvent arrière-train contre arrière-train. Les spermatozoïdes ont le temps de progresser dans l'utérus de la femelle. Après quelques dizaines de minutes, le pénis retrouve sa taille originelle et le couple peut enfin se séparer. Ce mode de reproduction original a encore cours chez le renard, une espèce pourtant souvent solitaire, à la différence de bon nombre de ses cousins canidés. © Sexual Nature, London’s Natural History Museum L'hirondelle femelle s'intéresse à la queue des mâles Certaines espèces d'oiseaux arborent des plumages plus beaux les uns que les autres, de façon à séduire les femelles avec toutes ces couleurs. Toutefois, les volatiles peuvent focaliser leur attention sur d'autres détails. C'est le cas notamment des hirondelles. Elles n'ont pas les plumes éclatantes du paradisier, mais les femelles disposent d'un autre critère esthétique pour sélectionner le mâle la symétrie de sa queue. Cet oiseau est connu pour ses rectrices formant un V. Les études ont montré que plus elles étaient symétriques chez un mâle, plus il avait de chances de trouver à s'accoupler. Ce n'est pas si surprenant, car il n'est pas rare, dans la nature, d'associer beauté et symétrie. L'Homme y est également sensible un visage asymétrique sera jugé moins attrayant qu'un visage à la symétrie parfaite… © Ferran Pestana, Wikipédia, CC by-sa L'argus géant, un grand oiseau, père de la sélection sexuelle Argusianus argus L'argus géant Argusianus argus est un peu le point de départ de la compréhension de la sexualité animale. La longue queue de cet oiseau qui le handicape face à ses prédateurs était un contre-exemple qui gênait Darwin dans ses lois de l'évolution. Aurait-il eu tort ? Non, comme il se justifie en 1871 dans son ouvrage La Filiation de l'Homme, paraissant 12 ans après ses écrits les plus célèbres. Les plumes allongées et colorées confèrent à ce cousin du paon l'assurance de trouver une partenaire au moment de la saison des amours les femelles raffolent de la belle parade qu'il leur réserve. Elles doivent se dire que si, avec de telles contraintes, il arrive à survivre, alors il leur donnera une descendance résistante à toute épreuve… © Sexual Nature, London’s Natural History Museum Intéressé par ce que vous venez de lire ? Pourquoiles Gaulois craignaient-ils que le ciel leur tombe sur la tête ? Le 07/01/2020 à 17h17. Modifié le 08/01/2020 à 18h28. Il s’agit d’une croyance religieuse : convaincus que la voûte céleste est soutenue par des colonnes, les Gaulois pensent que celle-ci s’effondrera la fin du monde venue. Car ces peuples sont très religieux. Info stockEn stock sous réserve des ventes en un achat en magasin, merci de vérifier la disponibilité de cet article avec votrelibraire CLC le plus et coordonnées des librairies CLC dans la rubrique Accès aux librairies CLC. Je choisis ma librairie de proximité - Fort-de-France- Grenoble- Lille- Lyon- Marseille- Montélimar- Montpellier- Paris- Strasbourg- ValencePrésentation Sans nous en rendre compte, nous pouvons facilement lire la Bible en nous laissant conduire par nos émotions et en étant finalement centrées sur nous-mêmes. Et, ce faisant, nous oublions qu’elle est un livre qui nous parle avant tout de Dieu. Voici donc un petit ouvrage pour nous aider à approfondir notre connaissance des Écritures en nous y prenant dans le bon sens », c’est-à-dire en cherchant d’abord à connaître Celui qu’elle nous révèle. Clairement structuré, accessible, concis et complet tout à la fois, Femmes de Parole propose une foule de conseils pratiques pour une étude méthodique et fructueuse, qui façonne l’intelligence et transforme le cœur. Tellement pratique dans sa manière de démystifier l’étude sérieuse de la Bible ! Permettra à tous ceux qui le liront d’approfondir leur connaissance de la Parole de Dieu sans devoir faire des études de théologie, ni être des génies, ni même être spécialement mots sur Jen Wilkin Jen Wilkin est mariée et mère de quatre enfants. Oratrice, elle enseigne la Bible aux femmes. Elle est aussi l’auteure de plusieurs ouvrages, dont celui-ci est le premier traduit en du libraire "Excellent ouvrage ! qui ne s'applique pas forcément aux femmes comme pourrait nous laisser penser son titre. L'auteure nous explique par différentes questions ainsi que de nombreux exemples qu'est ce que la bible ou encore quelles sont les bonnes méthodes pour l'étudier. Vous y découvrirez la symbolique mais aussi la signification de chacun des livres qui compose la Parole de Dieu. Très facile en lecture, il apporte de bonnes bases aux débutants tout en invitant à une vision nouvelle pour les anciens dans la foi. Résumé en une phrase A LIRE ABSOLUMENT !". Emilie, librairie CLC Paris - mars 2022 Appréciations 9 Matthieu S. le 15/03/2022 Jen Wilkin écrit en premier lieu pour un lectorat féminin évangélique ou, du moins, de culture évangélique qui lui tient à cœur. Ce faisant, elle répond, avec irénisme, aux écueils d’une certaine littérature évangélique féminine», nord-américaine en particulier. Mais, à vrai dire, cet excellent ouvrage est pertinent pour toute chrétienne qui souhaite mieux lire» la Bible mieux appréhender son fil conducteur, grandir dans la connaissance de Dieu par sa Parole, comme en confiance et en amour pour Lui. Les pages du livre respirent la joie d’une relation riche et profonde avec Dieu, qui se nourrit quotidiennement de sa Parole. Au passage, Wilkin transmet avec pédagogie des éléments essentiels d’interprétation et de théologie bibliques. Je prie que cet ouvrage ait un puissant impact en francophonie ! TAhxzDm.